Régime Seignalet

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Réduire au silence 100 maladies avec le régime Seignalet

Dans le livre Stop aux brûlures d’estomac le docteur Martine Cotinat explique pourquoi le traitement nutritionnel est de loin le plus complet et le plus efficace des traitements comme le reflux gastro-oesophagien (RGO). Ses patients, comme Vincent, 51 ans, dans cet extrait, témoigne aussi du « miracle alimentaire » qu’a éradiqué ses symptômes.

Le miracle alimentaire

C’est en 2000 que j’eus la chance de découvrir le livre du docteur Jean Seignalet, L’alimentation ou la troisième médecine. A l’époque, je souffrais d’une tendinite du coude, récalcitrante à tous les traitements, avec ossification des tendons et qui était très invalidante. Dans son livre, le docteur Seignalet proposait une approche nouvelle à peine croyable pour une personne comme moi qui avait toujours baigné dans un environnement médical. Ses arguments semblaient d’une telle rigueur scientifique que j’eus fortement envie d’essayer ses conseils diététiques. J’ai profité d’un contrôle coloscopique et donc du nettoyage du tube digestif pour mettre en place l’évitement des céréales modernes (froment, blé tendre, blé dur, seigle, orge et avoine) en association avec des probiotiques.

Les résultats ont été véritablement stupéfiants. Les douleurs aux genoux, que j’avais depuis l’âge de 16 ans disparurent progressivement. Ma tendinite ne semblait plus évoluer. Je ne sentais de remontées acides vers la gorge.

Aussi je me décidais à arrêter progressivement l’IPP que je prenais en continu depuis près de trois ans. Avant cela, tout arrêt était sanctionné par une reprise quasi immédiate de mes maux de gorge. Mais là, un véritable miracle se produisit. J’avais réussi à arrêter un traitement médicamenteux sans ressentir de douleurs, trois semaines après l’arrêt des céréales modernes ! C’était d’autant plus inespéré qu’à aucun moment le docteur Seignalet n’avait décrit une efficacité de ses conseils dans ce type de pathologie. L’euphorie fut cependant de courte durée.

Éradication des céréales et des produits laitiers

Moins d’une semaine après, une gastralgie et un mal de gorge refaisaient leur apparition. Je repris 4 à 5 jours d’IPP (Inhibiteur de la Pompe à Protons : sont prescrits pour diminuer l’acidité de l’estomac) et, une fois les douleurs disparues, j’arrêtai de nouveau le traitement. Rentré de vacances et, devant ces premiers résultats plus qu’encourageants, je complétais les conseils diététiques du docteur Seignalet et arrêtais complètement les laits animaux.

De nouveaux miracles se produisirent : migraines et insomnies disparurent, mais aussi acné, douleurs abdominales avec tendance à la diarrhée, dont je ne parlais pas parce qu’elle semblait faire partie de ma vie de tous les jours.

Cependant, de temps en temps encore, des rechutes de mon reflux survenait, même si deux jours de traitement suffisaient à le supprimer. Très rapidement, j’ai compris ce qui se passait. Ces douleurs apparaissaient systématiquement environ deux heures après une prise involontaire de blé. La preuve était faite pour moi. Les tests de réintroduction étaient tous positifs, même à mon insu.

Ce n’était pas psy, comme on l’entend trop souvent ! La chasse au blé s’ouvrait, et mes rechutes se firent de plus en plus rares et de moins en moins graves. Il y a seulement sept ans que j’ai fait le rapprochement avec mon fils qui se plaignait de temps en temps de gastralgie et de vomissements comparables à ce que j’avais vécu.

Les effets de la suppression du blé moderne et du remplacement par des céréales ancestrales ne se sont pas fait attendre chez lui non plus. Depuis quatre ans, je ne prends plus d’IPP.

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Et si c’était une candidose ou une parasitose ?

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Et si c’était une candidose ou une parasitose ?

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Et si c’était une candidose ou une parasitose ?

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L’intestin contient environ 400 espèces différentes de micro-organismes, dont une quinzaine connue, exerce des fonctions spécifiques dans l’organisme. Ces micro-organismes partagent leur vie avec des candidas (champignons) qui font partie des constituants de la flore intestinale..

Ils permettent d’assurer certains processus comme la régulation hormonale et la digestion des sucres.

Certains facteurs sont en cause et favorisent le développement de candidas albicans comme par exemple, l’abus d’antibiothérapie, la consommation excessive de sucre, le stress, etc.

Le candida albicans a la particularité de pouvoir passer de la forme champignon à la forme de levure. Cette dernière est capable de traverser la muqueuse intestinale et de passer dans la circulation lymphatique et sanguine.

Quelques conséquences de la présence du candida hors de l’intestin

  • stomatite, oesophagite, gastrite, colite
  • malabsorption, malnutrition, carences
  • urticaire, intolérances alimentaires
  • action sur la dopamine : déprime, anxiété, peurs, irritabilité, humeur variable, troubles de la mémoire, de la concentration
  • troubles du comportement alimentaire : boulimie, envies de sucre, de graisses saturées (charcuterie, fromage) et de boissons alcoolisées.
  • etc.

Conseils alimentaires

  • Supprimer le sucre et tout ce qui contient du sucre et qui nourrit le candida (y compris les bons sucres : miel, sirop d’érable et même les édulcorants)
  • Éviter tous les aliments contenant de la levure, des moisissures ou des ferments comme le pain, les pizzas, les gâteaux et pâtisseries, tous les fromages fermentés, les champignons crus, toutes les boissons fermentées (cidre, bière…), la sauce soja, le tamari, certains yaourts, les compléments à base de levure (ultralevure, carbolevure, levure de bière…), etc.
  • Éviter le lait de vache et les produits laitiers : fromage, crème, beurre, yaourt, lait, lactose, pâtisseries, gâteaux, etc.
  • Limiter toutes les céréales riches en gluten : blé, seigle, avoine et orge.

Une fois ces changements alimentaires appliqués, penser à soutenir votre foie avec des plantes comme l’artichaut ou le pissenlit par exemple.

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Et si c’était une candidose ou une parasitose ?

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Quand nos intérieurs nous polluent !

Diffusion de France 5 du dimanche 24 mai 2015

Contrairement à une idée reçue, l’air de nos maisons et de nos espaces de travail est cinq à dix fois plus pollué que l’air extérieur. Les meubles dégagent des substances chimiques, lesquelles proviennent de produits d’entretien ou de matériaux de construction. Et plus on nettoie sa maison, plus des substances toxiques sont libérées. Les médecins soupçonnent cette pollution domestique d’être à l’origine d’allergies, mais aussi de cancers.

Identifier les sources éventuelles de pollution chimique ou biologique :

  • bougies parfumées (particulièrement si elles sont allumées)
  • prises anti-moustiques
  • stockage des produits de bricolage et d’entretien même fermés (white spirit, acétone, alcool à bruler… Ils émettent des substances irritantes et potentiellement dangereuses)
  • peinture
  • parquet flottant
  • meubles récents (colles, traitements du bois…).

Il est conseillé d’entreposer dehors tout meuble « neuf », hors de son emballage pendant quelques semaines et d’aérer chaque pièce 15 minutes matin et soir pour renouveler l’air.

Le formaldéhyde

Le formaldéhyde est le polluant le plus présent et le plus préoccupant. On le retrouve dans les canapés, dans les colles des bois agglomérés, dans la peinture… Il se retrouve dans l’air et émet pendant des semaines, voire des années. En 2004, le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) a classé le formaldéhyde comme cancérogène certain.

 

Le formaldéhyde se retrouve également dans 91 % des produits ménagers testés par UFC Que Choisir. Les chercheurs ont découvert que l’utilisation de plusieurs détergents est bien plus nocive que la simple addition des différents polluants qu’ils émettent. Certaines substances peuvent réagir les unes avec les autres et parmi les produits formés par ses réactions, on retrouve le formaldéhyde.

Le formaldéhyde aggrave l’asthme des personnes allergiques, ainsi que les ammoniums quaternaires (terpènes que l’on retrouve également dans les huiles essentielles telles que les agrumes, les pins et les sapins, le plus souvent synthétiques). Ils sont issus des produits détergents et servent de désinfectant et de déodorant.

La marque l’Arbre Vert, propose un produit au consommateur, à base de matières premières minérales et végétales. Le label Ecolabel Européen interdit le formaldéhyde et les ammoniums quaternaires.

Conclusion

Il n’est donc pas anodin d’utiliser des produits chimiques et même naturels pour nettoyer ou désodoriser sa maison. L’emploi de produis simples, tels que le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude reste sain et efficace pour tout nettoyer.

Un autre geste est d’aérer quotidiennement sa maison et de stocker les produits d’entretien et de bricolage dans votre garage, sur votre balcon ou tout simplement de vous en débarrasser !

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